Je vous propose aujourd’hui un produit qu’en général les cyclistes versés dans la nutrition sportive la plus naturelle connaissent déjà : les Bocadillos Lucho Dillitos.
Pour faire un petit historique rapide, l’origine des Lucho Dillitos provient d’une confiserie traditionnelle colombienne, les bocadillos, à base de goyave et de sucre de canne. C’est donc tout naturellement que les cyclistes colombiens, en particulier l’équipe nationale, ont utilisé ces friandises naturellement élevées en glucides durant leurs entrainements, de l’énergie pure.
Dans le domaine des produits naturels de nutrition sportive, difficile de battre Lucho Dillitos. En effet, le carré énergétique de pâte de fruit lui-même est fait de 2 ou 3 ingrédients maximum suivant la saveur. Ne cherchez pas d’additif ou de conservateur, rien ne vient s’ajouter à la recette originale. Mais ce n’est pas tout. L’emballage de chaque carré de 4,5 x 1,5 cm est constitué d’une feuille de palmier séchée soigneusement pliée, donc 100% naturelle également et biodégradable. Ce n’est pas une raison pour jeter l’emballage au bord de la route ou du sentier bien sur !
Les bocadillos Lucho Dillitos sont déclinés en 3 versions :
La version classique apporte 22,4 g de glucides par barre de 40 g. Les versions saveur café et framboise apportent quant à elles 29,6 g de glucides.
La goyave est un fruit exotique plein de bonnes choses, notamment riche en antioxydants (caroténoïdes), en vitamines C et B9.
J’ai testé les barres énergétiques Lucho Dillitos aussi bien en trail qu’en sortie vélo. La première chose à noter est à propos de l’emballage, car j’imagine que certains peuvent rester septiques quant à la bonne tenue du carré lors d’efforts prolongés, en particulier par rapport à l’humidité et la sueur. Et bien non, il n’y a pas de soucis à se faire, la feuille de palmier séchée est un contenant parfait, qui isole très bien la pâte de fruit. Dimanche dernier, lors d’une sortie vélo avec un peu de D+, même après 4 cols vosgiens, le bocadillo était au sec dans sa feuille toujours bien pliée.
Il est facile d’ouvrir l’emballage, beaucoup plus facile que la plupart des emballages plastiques des barres du commerce, même durant l’effort. La feuille de palmier se déplie aisément.
La pâte de fruit est quant à elle bien consistance, elle se mâchouille très facilement. Certaines grandes gueules s’enfileront le carré d’un coup, mais on l’ingère en 2 ou 3 fois sans difficulté. La texture est agréable, c’est très fondant en bouche, très sucré également ! Normal c’est une pâte pure fruit et sucre. C’est d’ailleurs sur ce point que je me pose la question sur du long terme, sortie longue, ultra. J’imagine qu’il faudra bien espacer les prises en intercalant d’autres types de nourritures (neutre et salée) pour éviter l’écœurement.
Que ce soit en sortie trail longue ou lors d’une virée cycliste, les bocadillos Lucho Dillitos seront une façon naturelle et savoureuse de refaire le plein d’énergie. Avec leur format carré pratique, leur texture consistante et leur emballage biodégradable bien protégé, c’est l’allié idéal du sportif d’endurance voulant éviter les produits artificiels.
Le bocadillo coûte 1,90 € par carré, mais peut s’acheter en plaquette de 10 pièces sur le site luchodillitos.fr ou dans une quarantaine de points de vente en France.
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