Je ne suis pas un coureur au long cours, mes sorties se résument à des séances courtes en semaine, en général entre 7 et 12 km (les sorties longues se faisant le weekend généralement). Mais même dans ce cas, il faut s’hydrater, surtout en période estivale avec de plus fortes chaleurs, d’ailleurs mon corps me le demande très vite. Mais je dois dire que je me suis souvent demandé quelle méthode choisir : courir avec une bouteille à la main? Trop encombrant et lourd, je n’aime pas le déséquilibre que cela engendre. Utiliser une ceinture type trail avec 1 ou 2 bidons? Ça me semble un peu too much pour une sortie de moins d’une heure. Placer une ou deux bouteilles sur le parcours? Cela demande de la préparation et même si c’est une méthode que nous avions utilisé quelques fois à l’île Maurice, je ne me vois pas fonctionner comme ça.
Je n’avais pas vraiment trouvé de solution miracle.
Après un peu de recherche en ligne, j’étais tombé sur le bidon Simple Hydration qui de par sa forme peut être inséré dans le short. Cette solution semblait être un bon compromis, mais je ne l’ai pas trouvé à un prix décent en France. C’est alors que j’ai découvert les Soft Flask de Salomon, en particulier celle de 250ml qui semble un bon compromis contenance/poids.
Il s’agit d’une bouteille flexible et très malléable qui se comprime au fur et à mesure que l’on boit, ce qui a pour effet d’éviter le ballottement de l’eau à l’intérieur. Le concept est très rudimentaire, mais il fallait y penser.
J’utilise la bouteille lors de mes sorties depuis plusieurs semaines maintenant et je trouve le concept plutôt sympa. Comme évoqué plus haut, il s’agit du modèle 250ml qui est une taille intermédiaire entre une petite bouteille de 150ml et une de 500ml. Celle-ci tient bien dans la main, remplie, elle reste petite et beaucoup plus agréable qu’un bidon rigide. Pour boire, il faut pincer l’embout, donc pas une goutte ne sort lorsque l’on court. La bouteille est bien sur sans BPA.
Au départ je n’étais pas convaincu car dès que l’on boit, la Soft Flask devient immédiatement molle (d’où son nom!), elle bouge donc beaucoup et on ne sait pas trop comment la tenir, un comble lorsque cette bouteille est justement faite pour éviter les ballottements. Mais c’est juste une question de prise en main, il suffit de la plier, de la squeezer dans sa main au fur et à mesure qu’on la vide pour comprimer le volume de liquide absent et ainsi la re-rendre plus rigide. C’est juste une habitude à prendre.
Pour le moment c’est donc la solution qui me va, mes sorties tournant autour d’une heure, c’est bien suffisant et plutôt pratique sans gêner. Et vous, quelle solution utilisez-vous? N’hésitez pas à en faire part dans les commentaires.
Crédit photo : Francesca
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